La CNIL coupe les grandes oreilles de Perdriau.
Le projet de capteurs sonores porté par la société Serenicity, financé par des contributions publiques et porté par la ville ne se poursuivra pas.
Ces micros de rue n’espionneront pas la vie quotidienne des habitants du quartier de Beaubrun/Tarentaise.
L’avis de la CNIL est tombé, il nie que des micros puissent sélectionner les sons (ce que prétendait la mairie) et donc porte sur l’enregistrement possible des voix.
Cet avertissement est un niveau de sanction très élevé et la Mairie indique donc par communiqué qu’elle abandonne l’expérimentation
Victoire pour les citoyens, et merci au collectif Halte au contrôle numérique.